C’est aussi ( ce monde ) un lied
comme un puits de fraîcheur vitale
et le chant à pointe d’aube
des mésanges premières (tout est perlé )
Le vieux pin que j’aimais
a fini par mourir
incendié de l’intérieur
taraudé d’oiseaux fouisseurs
Et comment dès lors
oser dire je
Alain PRAUD