Nishat 304

Jeunesse est la douceur l’excès

jusqu’à son bord coupant

Chevaux dromadaires nous emportent

à ce qu’on bouscule du coude du poing

caressant les joncs des obstacles d’eau

et le nez levé à une hirondelle

Tout le corps est enveloppe

L’air des cimes a goût de schiste

AP

( 21 mai 2021 )

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