Le beau de l’océan ce sont ses rides
sous quoi s’ébat la vie immense
( bien davantage enfin que sous le ciel )
au point qu’on voudrait mille vies terrestres
et qu’on serait encore insatisfait
de n’être ni barracuda ni baleine franche
Plutôt s’enfouir infime
dans la mousse des abysses
Alain PRAUD
(21 août 2020)