Tous les ciels enfin sont étroits
C’est à tel point qu’ils nous trahissent
Nous qui venons de monde colorés
à outrance fauves primitifs
sans passé qui peut le croire
Vraiment si les ciels s’étrécissent
ceux qui suaves s’y suspendent
à qui se fier ne sauront
et brûlant voleront au large
Alain PRAUD