Qui marchera sur mes brisées
tant elles sont inconfortables – la bête
a fui et donné le change au point
qu’elle-même s’est perdue
dans le désordre d’un ruisseau
où miroite une langue confuse
Quand l’arbalète est là, déjà
Alain PRAUD
Qui marchera sur mes brisées
tant elles sont inconfortables – la bête
a fui et donné le change au point
qu’elle-même s’est perdue
dans le désordre d’un ruisseau
où miroite une langue confuse
Quand l’arbalète est là, déjà
Alain PRAUD