Le bonheur n’est qu’un instant l’étreinte
et puis cette vie qu’on réchauffe de la voix
Aimer la vie est comme une échelle
entre deux abîmes, avec vertige
peut-être et puis un souffle sur une ardoise
Alain PRAUD
Le bonheur n’est qu’un instant l’étreinte
et puis cette vie qu’on réchauffe de la voix
Aimer la vie est comme une échelle
entre deux abîmes, avec vertige
peut-être et puis un souffle sur une ardoise
Alain PRAUD