Nishat 126

Je vis je brûle et au même moment
Tout gèle autour de moi le vent
même et comment être autour de toi, vous
Je te veux comme en effet comme autrefois
sous les palmes Autrefois les plantes fleurs
graines, inquiétudes. Autrefois je vis je
brûle j’aime les filles callipyges et
le fond parfumé de leur bouche, je veux
sans vouloir et si je ne voulais pas, même
je voudrais encore vous toi qui brûlez sans feu
infiniment

Alain PRAUD

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