Tissés des rêves de nos morts
nous sommes de leur printemps
Pluie d’oiseaux dans le couchant
Vacarme de tisserins cris de terreur
du vaste peuple des aras
Chaque jour ce monde meurt
et renaît au matin Comme
c’est étrange
Alain PRAUD
Tissés des rêves de nos morts
nous sommes de leur printemps
Pluie d’oiseaux dans le couchant
Vacarme de tisserins cris de terreur
du vaste peuple des aras
Chaque jour ce monde meurt
et renaît au matin Comme
c’est étrange
Alain PRAUD