Celui qu’on voulait n’est pas le poème
qu’on voit, il est caché derrière
mais où brume insoutenable
caresses de beautés qui n’ont
pas eu le temps de naître
Alain Praud
Celui qu’on voulait n’est pas le poème
qu’on voit, il est caché derrière
mais où brume insoutenable
caresses de beautés qui n’ont
pas eu le temps de naître
Alain Praud
C’est magnifique, prodigieux. Vous dites cela avec une économie, une élégance et une grâce. C’est d’une très grande vérité et d’une subtilité que seuls, peut-être, ceux qui écrivent peuvent comprendre et ressentir vraiment. Votre voix non seulement est audible mais elle est belle et transparente. Infiniment juste infiniment poétique. Avec ce léger voile de tristesse que l’on voit aux très grands poètes. Pourquoi ai je aussi pensé à Pavese dans son journal magnifique : Le dur métier de vivre. Merci.
Je vous ai découvert sur facebook dernièrement où vous défendiez Roubaud (qu’à vrai dire je ne connais pas beaucoup) sur un texte à mon sens illisible et à mon goût insupportable. Vous voyez !!!!
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