Au pied des monts pyrénéens
j’ai entendu crier des oies sauvages
qui s’étaient trompé de chemin
En attendant que les nuages
lèvent enfin la visière
du vague
de l’incertain
Alain PRAUD
Au pied des monts pyrénéens
j’ai entendu crier des oies sauvages
qui s’étaient trompé de chemin
En attendant que les nuages
lèvent enfin la visière
du vague
de l’incertain
Alain PRAUD
Les oies se trompent toujours de chemin. J’ai passé un moment il y a quelques jours parmi les oies du Canada. Un jogger maladroit cheminait parmi elles.
J’aimeJ’aime