Hippolyte dompteur de cavales
Ivres de liberté indue
Par le verbe seulement tu
Poudres de sel ce carnaval
On peut morigéner la nue
Labile enflée obscur dédale
Y voler le feu qui t’est dû
Te vaudra la peine infernale
Et l’amour des femmes perdues
Alain PRAUD