Debout dans ta salle de bains
Et mort à ton miroir
Considérer manque et perte
En héros vaincu – on les aime –
Tout entier hors image
Debout dans ta salle de bains
Et mort à ton miroir
Considérer manque et perte
En héros vaincu – on les aime –
Tout entier hors image
Toujours cette concision qui, loin d’enclore, ouvre sur des interprétations changeantes.
L’acrostiche, bien sûr, et la proximité entre ce mot latin et le synonyme de la « mort » présente dans ton poème n’est sans doute pas non plus le fruit du hasard ?
Les héros vaincus : les aime-t-on vraiment – oui, si l’on sait qu’ils peuvent encore se relever. Ca me fait penser (de fil en aiguille) à la chanson de Souchon « Quand je serai KO », tu connais ?
Bises au poète,
Elodie
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