Soudain sur le chemin une pluie d’oiseaux
Des buissons d’hortensias prennent les talus
La terre est rouge le vent bleu nuit
Aucun de mes ancêtres n’a vu celaAprès le ciel brûlant l’ombre des cryptomères
Est un vêtement de soie
Je leur emprunte un ruban d’écorce
Comme pour y écrire mes pensées
Alain PRAUD
Jolie promenade, je crois reconnaître la chaleur, le vent et l’ombre aussi.
Bises
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