En visite sur l’antique terrasse , je frôle la cime d’un figuier banian
Je contemple en contrebas la mer bleue et verte comme une précieuse coupe de jade
En ce lieu le vent du printemps apportait au roi de Yue chants et danses
Aujourd’hui il n’y a plus que le vent du printemps
(trad. avril 2005)
Traduit du chinois par Alain PRAUD