Penché avec toi sur le puits malaisé
Et les mains tendues vers des voix indistinctes
Cela n’est pas encore dis-tu sois sans inquiétude
Cela n’est pas ces agrès , ce velours
Un envol furtif t’a frôlé tu vacilles
Elle précipite en nous la langue ailée , l’ancienne
( Fut un temps où l’âme entière était emplumée )
Alain PRAUD